Le flop que les supporters rennais ne veulent vraiment pas voir titulaire avait la confiance de Julien Stéphan et Jorge Sampaoli, mais Habib Beye l’a mis sur le banc

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    Recruté pour 10 millions d’euros en provenance du FC Barcelone, Mikayil Faye peine à convaincre sous les couleurs du Stade Rennais.

    PARIS, FRANCE – SEPTEMBER 27: Mikayil Faye of Stade Rennais passes the ball whilst under pressure from Warren Zaire Emery of PSG during the Ligue 1 match between Paris Saint-Germain FC and Stade Rennais FC 1901 at on September 27, 2024 in Paris, France. (Photo by Franco Arland/Getty Images)

    Pourtant, Julien Stéphan et Jorge Sampaoli lui avaient accordé leur confiance. Depuis l’arrivée d’Habib Beye, le défenseur sénégalais semble totalement mis à l’écart.

    Le mercato estival rennais a viré au fiasco, avec des recrues trop rarement au niveau. Cet hiver, plusieurs joueurs ont déjà quitté la Bretagne en prêt, à l’image de Glen Kamara, Albert Grønbæk ou Léo Østigård.

    Resté au club, Faye commence à regretter son choix. Arrivé en provenance du Barça contre plus de 10 millions d’euros, il a bénéficié de quelques titularisations sous Stéphan et Sampaoli, malgré des performances hésitantes en défense centrale.

    PARIS, FRANCE – SEPTEMBER 27: Mikayil Faye of Stade Rennais passes the ball whilst under pressure from Warren Zaire Emery of PSG during the Ligue 1 match between Paris Saint-Germain FC and Stade Rennais FC 1901 at on September 27, 2024 in Paris, France. (Photo by Franco Arland/Getty Images)

    Avec l’arrivée de son compatriote Habib Beye, il espérait retrouver de la confiance. C’est tout l’inverse.

    Faye totalement zappé par Beye

    Mikayil Faye ne joue plus. Il a purement et simplement disparu des radars rennais. Absent contre Reims, il n’est pas convoqué pour le déplacement à Montpellier, deuxième absence consécutive.

    Pourtant, ces adversaires figurent parmi les plus faibles de Ligue 1 actuellement. Habib Beye privilégie Jacquet, Wooh, Brassier et Hateboer en défense à trois.

    Son temps de jeu sous Beye est éloquent : 24 minutes en tant que remplaçant, lors du premier match du coach contre Strasbourg.

    Vendredi, en conférence de presse, Beye a lâché une phrase lourde de sens : « Nous avons presque tout le monde ». Un signe évident de rupture.

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