AdminDepuis le début de la saison, Valentin Rongier a enchaîné les performances de haut niveau. Pourtant, avec l’arrivée d’Ismaël Bennacer, Roberto De Zerbi l’a relégué sur le banc. Une décision incompréhensible que l’entraîneur italien doit rectifier.
Après quelques tâtonnements initiaux, De Zerbi avait trouvé l’équilibre parfait au milieu avec l’association de Pierre-Emile Højbjerg et Valentin Rongier devant la défense, permettant à Adrien Rabiot d’évoluer plus librement pour soutenir Mason Greenwood.
Mais l’arrivée d’Ismaël Bennacer en provenance de l’AC Milan cet hiver a bouleversé cette dynamique. Dès son premier match, l’international algérien a été titularisé à Angers en l’absence de Rongier, suspendu.
Depuis, Bennacer a pris place dans le onze de départ, reléguant Rongier sur le banc. Pourtant, ses prestations n’ont pas marqué les esprits, et la question du retour de Rongier dans le onze titulaire se pose avec insistance, d’autant plus après son entrée décisive face à Nantes.
Sur les ondes de RMC, Éric Di Meco n’a pas mâché ses mots :
« En football comme dans la vie, la nouveauté est toujours plus attirante. Ce qui m’embête avec des joueurs comme Rongier, c’est qu’ils ne sont jamais là au début, puis dès qu’il y a un pépin, on le fait jouer et on se rend compte qu’il stabilise l’équipe.
Et dès qu’un nouveau arrive, avant même de faire ses preuves, il passe devant. Bennacer a pris la place de Rongier après un bon match contre Lyon (3-2), il n’y avait aucune raison. »
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