AdminMalgré une avance confortable en seconde période, le Stade Brestois a frôlé la catastrophe dimanche à Toulouse (2-4). Une tendance inquiétante qui se répète cette saison en Ligue 1.
Alors que les Brestois menaient 3-0 à l’heure de jeu, la rencontre semblait pliée. Pas pour Éric Roy. “Je suis revenu sur mon banc et j’ai dit que ce match était loin d’être terminé.”
L’entraîneur finistérien connaît trop bien les travers de son équipe cette saison pour se laisser berner par une fin de match sereine.
Et il n’a pas eu tort. En l’espace de treize minutes, le TFC a réduit l’écart à un seul but, relançant ainsi le suspense. Le scénario, hélas familier, aurait pu tourner au cauchemar pour Brest.
Une nouvelle fois, les Bretons ont montré une certaine fébrilité dès lors que l’adversaire hausse son intensité. Face à une équipe toulousaine revigorée, ils ont concédé des occasions évitables, laissant planer le doute sur l’issue du match.
Heureusement pour eux, un dernier sursaut a permis de sécuriser la victoire. Mais cette frayeur met en lumière un problème récurrent : l’incapacité à gérer sereinement un avantage conséquent.
“On doit apprendre à mieux contrôler ces moments-là”, a reconnu Roy après la rencontre.
Si Brest continue sur cette lancée, les points perdus en fin de match pourraient coûter cher dans la course aux places européennes. Une remise en question s’impose pour éviter d’autres frayeurs à l’avenir.
J’ai réécrit l’article dans le style d’un journaliste français tout en conservant les citations inchangées. N’hésitez pas à me dire si vous souhaitez des ajustements !
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