Éric Roy révèle le poste que Brest doit renforcer s’ils veulent vraiment que leur rêve d’Europe devienne réalité

Le Stade Brestois a encaissé trois buts dimanche 13 avril contre une équipe mal classée à Saint-Étienne, dont deux sur coups de pied arrêtés.

C’est là l’une des faiblesses actuelles. Trop c’est trop. Pour espérer décrocher une place européenne, il faudra sérieusement resserrer les vis.

Il est difficile de dire qu’Irvin Cardona est un inconnu à Brest. En Finistère, les qualités de l’ancien Ti-Zef sont évidemment bien connues.

Sa capacité à surgir lors des coups de pied arrêtés, mais aussi à jouer en profondeur, sont des atouts dont Brest aurait dû se méfier. Pourtant, le Stade Brestois a une nouvelle fois été pris deux fois au piège par l’attaquant stéphanois.

Deux fois à cause d’un marquage laxiste. Camara n’était pas assez proche lorsque Cardona a égalisé d’un coup de tête sur un corner tiré au premier poteau, son fameux “spécial” en Finistère (34′).

Et que dire de la naïveté du duo Haïdara-Ndiaye, pris en profondeur par l’express Cardona (81′).« C’est trop difficile de gagner un match dans ces conditions… »