Un nouveau problème dans l’affaire Payet : la plaignante fait une révélation choc.

Larissa Ferrari, l’avocate brésilienne qui accuse Dimitri Payet de violences, a livré des révélations glaçantes.

L’ancien capitaine de l’Olympique de Marseille (OM) se retrouve désormais au cœur d’une affaire judiciaire troublante, déclenchée en mars par son ancienne compagne, rencontrée sur Instagram en août 2024.

Dans sa déposition, Ferrari, jeune juriste, évoque des manipulations émotionnelles, des demandes de « faveurs sexuelles », des « punitions », des « coups » et des « humiliations ».

Elle aurait même fourni aux enquêteurs des preuves de ces sévices, affirmant également avoir reçu des menaces de la part du joueur français.

Dans une interview accordée au Sun, Ferrari renouvelle ses accusations, qualifiant le Réunionnais de « monstre malade ». « J’ai eu peur pour ma vie et j’ai toujours peur », confie-t-elle.

« Je me suis ouverte à lui. Je lui ai dit que je venais de sortir d’une relation et que j’étais mentalement fragile, et il m’a beaucoup soutenue. Je pensais qu’il était mon refuge.

» Elle raconte un faux mariage qu’ils auraient mis en scène, durant lequel Payet aurait déclaré que c’était le moment où leur relation devenait réelle.

Il ne parlait jamais de sa femme, et Ferrari, bien que mal à l’aise, n’osait pas poser de questions. Il lui aurait demandé d’acheter une alliance, lui jurant qu’il ne la quitterait jamais. C’est à ce moment-là, selon elle, qu’il aurait révélé son vrai visage.

« C’est maintenant que ta punition commence », lui aurait-il lancé à son arrivée chez lui. Ferrari explique s’être sentie coupable, manipulée au point de croire que leur relation ne pouvait continuer que si elle acceptait cette punition.

Lorsque Payet aurait découvert une conversation entre elle et un autre footballeur, la situation se serait aggravée. Il l’aurait insultée, l’accusant de le tromper et lui ordonnant de prouver son amour, allant jusqu’à suggérer un tatouage à son nom.

Mais cela ne lui aurait pas suffi. Il lui aurait alors dit de se punir elle-même par des vidéos, puisqu’il n’était pas là pour le faire.