Un géant de la Premier League identifie trois stars de Ligue 1 comme ses principales cibles estivales et révèle même le joueur que Habib Beye ne veut pas voir partir.

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Bournemouth, propriété de l’homme d’affaires américain Bill Foley, également actionnaire minoritaire du FC Lorient, semble avoir jeté son dévolu sur la Ligue 1 pour renforcer son effectif cet été.

LILLE – Quentin Merlin of Olympique de Marseille during the French Ligue 1 match between Lille OSC and Olympique Lyonnais at the Pierre-Mauroy Stadium on May 4, 2025 in Lille, France. ANP | Hollandse Hoogte | Gerrit van Keulen (Photo by ANP via Getty Images)

Une stratégie qui pourrait profiter aux clubs français, confrontés à des difficultés financières en raison du fiasco des droits TV.

Selon L’Équipe et Ouest-France, les Cherries ont manifesté leur intérêt pour le défenseur du FC Nantes, Nathan Zeze.

Le jeune joueur, qui a failli rejoindre l’Inter Milan l’été dernier pour une somme similaire, fait l’objet d’une première offre orale de Bournemouth, estimée à 16 millions d’euros.

RENNES, FRANCE – JANUARY 11: Adrien Truffert of Stade Rennais controls the ball during the Ligue 1 match between Stade Rennais FC 1901 and Olympique de Marseille at Roazhon Park on January 11, 2025 in Rennes, France. (Photo by Franco Arland/Getty Images)

Cependant, les dirigeants nantais attendraient au moins 20 millions d’euros pour laisser partir leur pépite. Zeze, formé à Nantes, a depuis gagné en expérience au plus haut niveau.

Parallèlement, Bournemouth cherche également à se renforcer sur le flanc gauche, anticipant le départ de Milos Kerkez.

Le club anglais surveille avec attention Quentin Merlin (OM) et Adrien Truffert (Stade Rennais). Ce dernier aurait la préférence des décideurs britanniques, mais les Bretons ne semblent pas enclins à céder leur joueur.

Du côté de l’OM, la situation est différente. Quentin Merlin, arrivé pour 12 millions d’euros, n’a pas convaincu.

Si une offre intéressante se présente, les dirigeants marseillais ne devraient pas s’opposer à son départ. Une aubaine pour Bournemouth, qui pourrait tirer profit des tensions financières des clubs français pour renforcer ses rangs.

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