Le directeur sportif du Stade Brestois dresse une short-list et révèle le poste ciblé par Brest lors du mercato de janvier — voici le poste qu’il a désigné.

En pleine trêve hivernale, le directeur sportif du Stade Brestois, Grégory Lorenzi, a livré un point d’étape sans fard sur la situation sportive et économique du club finistérien.

Encore marqué par l’élimination en Coupe de France à Avranches, le dirigeant brestois préfère néanmoins retenir les fondations posées en championnat depuis le début de la saison.

« We have the same number of points as at this time last season. And last year, we could say we had a pretty good first half of the season.

It’s true that there was also the euphoria of the Champions League, which helped solidify things a bit.

» Un constat chiffré qui permet de relativiser, même si Lorenzi n’élude pas certaines frustrations. « We also have regrets because I think we deserved to have a few more points. Perhaps we didn’t do what was necessary. »

Le dirigeant évoque notamment des scénarios qui ont coûté cher. « I’m thinking of the match in Lorient where we were leading 3-2 in the 90th minute and conceded a goal in stoppage time.

I’m also thinking of the match in Nantes (0-0, at Le Blé) where we were the better team and couldn’t score because we also came up against a great goalkeeper. »

Ces occasions manquées nourrissent un sentiment d’inachevé. « If we don’t have more points, it’s perhaps simply because there are some shortcomings.

But we’re currently in our league. » Lorenzi insiste toutefois sur la nécessité de rester lucide face aux moyens du club. « The Champions League isn’t our reality. It wasn’t normal to see Brest at this level. And we know the financial situation we’re in.

Dans ce contexte, le mercato hivernal s’annonce mesuré. À Brest, l’objectif reste clair : assurer le maintien avant toute ambition supplémentaire.