La star de Marseille à Rennes, mais Pablo Longoria veut arrêter l’accord avec effet immédiat.

Un marché des transferts sous haute tension : le Stade Rennais, ambitieux comme jamais, s’efforce d’offrir à Jorge Sampaoli les recrues qu’il réclame.

SAINT-ETIENNE, FRANCE – DECEMBER 22: Valentin Rongier of Marseille looks to bring the ball down during the French Cup match between AS Saint-Étienne and Olympique de Marseille at Stade Geoffroy-Guichard on December 22, 2024 in Saint-Etienne, France. (Photo by Eurasia Sport Images/Getty Images)

Parmi elles, Valentin Rongier, milieu de terrain de l’Olympique de Marseille, occupe désormais une place centrale dans les discussions.

Cependant, l’OM, dirigé par Pablo Longoria, n’a pas l’intention de se séparer facilement de l’un de ses cadres.

Après l’arrivée de Seko Fofana et l’attente de la signature de Brice Samba, Rennes semble décidé à poursuivre son offensive.

Jorge Sampaoli, qui connaît bien Valentin Rongier pour l’avoir dirigé à Marseille, insiste pour faire venir le joueur en Bretagne.

SAINT-ÉTIENNE, FRANCE – DECEMBER 08: Valentin Rongier of Marseille runs with the ball during the Ligue 1 match between AS Saint-Étienne and Olympique de Marseille at Stade Geoffroy-Guichard on December 8, 2024 in Saint-Etienne, France. (Photo by Eurasia Sport Images/Getty Images)

Mais, comme le révèle RMC, les premiers échanges entre les deux clubs n’ont pas été fructueux. « Marseille n’est pas vendeur », aurait affirmé Pablo Longoria. Pourtant, le Stade Rennais n’entend pas s’arrêter là.

Selon les journalistes Florent Germain, Jean Bommel et Fabrice Hawkins, les dirigeants rennais restent convaincus qu’un accord est possible.

L’argument principal ? La situation contractuelle de Rongier. Avec un contrat courant jusqu’en juin 2025, le milieu pourrait quitter Marseille librement dans un an s’il refuse de prolonger.

Cette perspective laisse entrevoir une marge de manœuvre pour Rennes, qui espère faire fléchir Longoria d’ici la clôture du mercato hivernal, le 3 février. « Rennes n’a pas baissé les bras, bien au contraire », souligne RMC. Une affaire à suivre de près.

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