Le Stade Brestois n’a pas fait le poids face à l’élite européenne. Contre la maîtrise technique impressionnante du FC Barcelone, les Ti-Zefs ont fait ce qu’ils ont pu.

Ce mardi, les Brestois ont affronté rien de moins que le sommet mondial, l’élite de la Ligue des Champions, comme l’a souligné le capitaine Brendan Chardonnet : “Même sans Yamal, on a vu pourquoi ils sont là.”
Eric Roy, l’entraîneur brestois, a mis les choses en perspective : “Ils ont mis quatre à Bayern Munich (en Ligue des Champions, 4-1), quatre au Real Madrid (en Liga, 4-0). Et nous, on est loin de ces équipes.”
Face à une équipe catalane qui écrase tout sur son passage, Brest, outsider européen, avait élaboré un plan de jeu ambitieux. L’idée ?

Exploiter les espaces derrière un bloc espagnol qui joue résolument très haut. Mais comme le dit si bien Roy : “Sur un tableau, tout paraît facile.”
Malgré la défaite, ce match restera une expérience enrichissante pour le club breton, confronté à l’un des plus grands défis de son histoire.