Incroyable ! Voici ce qu’a déclaré la star du Stade Brestois, Del Castillo, après le match contre le PSG, ce qui a rendu l’entraîneur furieux.

Tout ça pour ça. Samedi 25 octobre 2025, au stade Francis-Le Blé, l’arbitrage a encore fait parler de lui.

Brest’s French forward #10 Romain Del Castillo (L) celebrates scoring his team’s third goal from the penalty spot with Brest’s French midfielder #08 Hugo Magnetti during the French L1 football match between FC Lorient and Stade Brestois 29 (Brest) at the Stade du Moustoir in Lorient, western France, on October 19, 2025. (Photo by Fred TANNEAU / AFP) (Photo by FRED TANNEAU/AFP via Getty Images)

Lors de la rencontre entre le Stade Brestois et le Paris Saint-Germain (0-3), l’arbitre de la rencontre, M. Pignard, a mis plus de six minutes à accorder un penalty en faveur des Brestois après une main de Kang-In Lee dans la surface. Une interminable attente qui a fait perdre patience aux joueurs comme au public.

Finalement, après un long échange avec la VAR et plusieurs revirements de décision, le penalty a été confirmé…

Paris Saint-Germain’s South Korean midfielder #19 Lee Kang-in controls the ball as he runs past Brest’s French forward #10 Romain Del Castillo during the French L1 football match between Stade Brestois 29 (Brest) and Paris Saint-Germain (PSG) at the Stade Francis-Le-Ble in Brest, western France, on October 25, 2025. (Photo by JEAN-FRANCOIS MONIER / AFP) (Photo by JEAN-FRANCOIS MONIER/AFP via Getty Images)

pour un dénouement tout aussi frustrant : Romain Del Castillo, pourtant spécialiste de l’exercice, a envoyé le ballon dans les tribunes. Le coup de sifflet final est intervenu sans que Brest ne parvienne à relancer la partie.

Au-delà du score, ce match restera dans les mémoires pour cet épisode surréaliste. « La décision a changé deux ou trois fois », a déploré Joris Chotard, médian brestois, à la sortie du terrain.

Une scène qui illustre, une fois encore, les limites d’un arbitrage vidéo souvent critiqué pour sa lenteur et son manque de clarté.

Sur le plan sportif, le PSG, sans briller mais avec sérieux, a maîtrisé son sujet. Les Parisiens, portés par un Dembélé retrouvé et auréolé de son Ballon d’Or, ont fait parler leur efficacité.

Mais l’essentiel de la soirée restera cette séquence absurde, symbole d’un football parfois trop dépendant de la technologie.

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